Le confessionnal

Apres avoir clouer , mesurer , ajuster , elle recula et regardait . si tout était bien droit.

La jeune chapelaine était satisfaite de son travail.


Merci Cyclope

Après la discussion en taverne avec Wantaka…

Harlan vint voir le beau travail qu’avait effectué Wantaka. Il sourit en voyant l’ouvrage. Non pas qu’il prêtait à sourire, mais tant il fut stupéfait de sa réussite. Il avait du mal à imaginer une Chapelaine travailler le bois, et pourtant… le résultat était là. Il en était bluffé.

Il regarda dans la Chapelle et vit sa Chapelaine. Il sourit et elle vint le trouver.

Beau travail Chapelaine… c’est réussit.
Mais je ne venais pas que pour féliciter la travailleuse, je venais aussi tester… hum, soulager ma conscience.
Il rougit à son lapsus.

Wantaka regardait Harlan, examiner son travail et lui sourit

Citation :

Beau travail Chapelaine… c’est réussit.
Mais je ne venais pas que pour féliciter la travailleuse, je venais aussi tester… hum, soulager ma conscience

Merci Harlan, bien c'est pas si mal finalement ,elle regardait son pouce tout bleu

Ah ,,, tu sais , il faut savoir se débrouiller

Tu désires te confesser, bien dis donc , tu seras mon premier , tout resteras entre nous ahhh bien sur Aristote aussi.


Elle lui sourit gentillement

Il sourit timidement.

J’ai besoin en effet de parler de quatre choses que j’ai éprouvées récemment et qui ni ne me ressemblent, ni ne me conviennent. Elles me rongent de l’intérieur. Puisse le Très Haut et ceux à qui j’ai fait du tort, me pardonner. Es tu prête à les entendre ?

Il avait le cœur lourd… On aurait pas dit comme ça, mais le Fantassin encaissait beaucoup sans trop extérioriser, mais quand ça arrivait…

La jeune chapelaine écoutait Harlan , elle voyait , qu'il avait lourd sur le coeur.

Citation :

J’ai besoin en effet de parler de quatre choses que j’ai éprouvées récemment et qui ni ne me ressemblent, ni ne me conviennent. Elles me rongent de l’intérieur. Puisse le Très Haut et ceux à qui j’ai fait du tort, me pardonner. Es tu prête à les entendre

Oui Harlan, je suis prete à t'écouter, te guider , allégé ce mal qui semble te torturer,il ne faut pas que des choses du passé vienne hanté ta vie quotidienne.
Aristote m'as donné ce pouvoir d'etre une oreille attenntive, aussi à ne pas juger les gens, les respecter.Lui seul le Tres HAUT , qui est omiprésent peut pardonner , par mon intermédiare bien sur.

Elle lui sourit, Harlan, je t'écoute.

Harlan dans un confessionnal ! Il se demanda s’il ne rêvait pas… Aïe ! non je ne rêve pas.
Il venait de se pincer.

Il sourit à Wantaka, même si elle ne le vit pas.

C'était il y a quelques semaines...
Voilà, d’abord, petit à petit, la jalousie a pris le contrôle de mes propos. J’ai fini par être sarcastique… ce qui n’est pas dans ma nature. Je sais que j’ai pu faire du mal à une personne en particulier, qui, d’autant plus, n’y pouvait rien. Je sais que ce n’était pas bien de ma part. Il s’agirait d’une histoire d’amour envers une femme… mais même pas. Je m’en veux.

Harlan fit une pause.
Il reprit

Je crois que je ne supportais pas d’être abaissé. Je pense que c’est un certain orgueil qui m’a poussé à faire cela… à écraser pour mieux s’élever, tout ce que je déteste. Grrr… J’ai de plus été égoïste, car je n’ai pas tenu compte des autres dans mes choix. Je fais ce que je veux, les autres doivent suivre… Je ne me reconnais plus.

Il était peiné de raconter tout cela.

La seule chose où je me reconnais, c’est dans mon excès de consommation alimentaire. J’ai été tellement gourmand en une certaine circonstance… hum, j’ai trop consommé de tisanes, heu… non ça c’était après ! Avant j’ai bu trop de Schmilblick.

Il sourit.

J’ai eu un mal de crâne qui a obligé mes compagnons de voyage à attendre une journée sur place avant de repartir.
Ca fait beaucoup de choses à pardonner, mais je compte bien ne pas renouveler ces bêtises… promis.

La jeune chapelaine assise derriere le tout petit carreau avec un grillage tres fin , ne voyait qu'un ombrage, elle était attentivement.

Citation :

C'était il y a quelques semaines...
Voilà, d’abord, petit à petit, la jalousie a pris le contrôle de mes propos. J’ai fini par être sarcastique… ce qui n’est pas dans ma nature. Je sais que j’ai pu faire du mal à une personne en particulier, qui, d’autant plus, n’y pouvait rien. Je sais que ce n’était pas bien de ma part. Il s’agirait d’une histoire d’amour envers une femme… mais même pas. Je m’en veux.

Citation :

Je crois que je ne supportais pas d’être abaissé. Je pense que c’est un certain orgueil qui m’a poussé à faire cela… à écraser pour mieux s’élever, tout ce que je déteste. Grrr… J’ai de plus été égoïste, car je n’ai pas tenu compte des autres dans mes choix. Je fais ce que je veux, les autres doivent suivre… Je ne me reconnais plus.

Citation :

La seule chose où je me reconnais, c’est dans mon excès de consommation alimentaire. J’ai été tellement gourmand en une certaine circonstance… hum, j’ai trop consommé de tisanes, heu… non ça c’était après ! Avant j’ai bu trop de Schmilblick

Citation :

J’ai eu un mal de crâne qui a obligé mes compagnons de voyage à attendre une journée sur place avant de repartir.
Ca fait beaucoup de choses à pardonner, mais je compte bien ne pas renouveler ces bêtises… promis.

Elle prit une grande respiration,


Mon fils, premierement,je te crois sincere , pour ce qui est de cette histoire , dont tu fais mention au début, il ne faut pas te culpabiliser de la sorte, peut etre , qu'elle même vit des remords aujourd 'hui ,que tu ne connais pas. Ta réaction était tout à fait normal, au moment de cette histoire.Laisse le temps faire son oeuvre , tu ne trouveras que satisfaction par la suite.Aristote te pardonner , tu as été blessé , touché et cela n'était peut etre pas de ta faute, l'erreur est humaine, suit ton chemin sans aucun remord de ta part. Tu n'as pas été si méchant , je crois , tu es sensible plutot , enfin c'est l,opinion de ta chapelaine qui te parles.Tu crois avoir été abaissé , ahh. les hommes , je ne crois pas , enfin ma conscience me dit que , tu as été plutot touché dans ton orgueil, laisse vivre les gens à leur facon , mais si cela te dérange , ne dis rien et change de route. je te connais, tu sais bien, je connais mes légionnaires.On ne peut pas etre vraiment lucide sur le coup de la colere et la colere ne mene à rien.


Ah tu as consommé du schmiliblick , mortel , ce truc la , mais tu as pensé à quoi donc ? Ce n,es pas buvable en plus , qui t'as fais boire ce machinchose ........ enfin. tu vois , c'est grave , prendre du retard pour un mal de crane en plus , non mais oh , il faut pas faire ca voyons , n'importe quoi. Bien tu as appris à etre raisonnable.

Pour se faire , tu allumeras deux cierges , je t'accorde le pardon , car je sais que tu as bien compris et que tu ne vas pas recommencer.