Eris. Invité
| Sujet: Retour à la vie, Retour à la réalité Mer 14 Sep - 11:07 | |
| Elle s’était réveillée dans un endroit inconnus, ou elle ne connaissait personne et pourtant ça s’affairé autour d'elle. Eris ne reconnus aucune voix, ses yeux s'ouvrir avec mal, ses paupières étaient encore lourdes, quand elle voulut se lever, de fortes douleurs la tiraillé de toute part, se qui la força a se recoucher et a ne pas faire plus d'effort qu'il en était nécessaire. Que s'était-il passé ? Ou était-elle ? Seul Aristote en avait les réponses...
Au fil des jours, des mois, ses blessures se pansèrent, elle arrivait a mener sa propre vie sans l'aide de personnes. Se qui devait en soulagé plus d'un, elle était vêtue de haillons et tentée tant bien que mal a gagner sa vie pour pouvoir se nourrir. Ses cicatrices était encore d'un rouge saillants, elle ne pouvait les manquait quand elle regardait son reflet dans l'eau de la rivière.
La famille ou les gens qui l'avaient recueillit et soignés avaient gardés ses effets qu'ils lui rendirent aussitôt remise, car la pauvre fille n'avait plus trace de son passé... Peut être se souviendrait-elle ainsi aidée pensait-ils. Il lui restait qu'un truc étrange qui était accroché a elle quand on la retrouva gisant au sol immaculé de son propre sang. Que signifiait ses quatre barrettes d'or ? Personne dans le coin n'en porté, il lui arrivait souvent de s'asseoir en plein centre du village ou même en taverne, observant les passant ou les soiffards, afin de remarquer ne serait-ce qu'une personne ayant cette même chose. Mais même des soldat de l'OST n'en portaient pas... Et personne d'autre.
Le temps filé et elle avait enfin assez pour trouver des braies et des chausses sur le marché, elle était enfin en tenue descente , sans qu'un malpropre se délecte de la vue que la jeune femme donné. Il faut dire que le marché de Ville franche n'etait pas bien riche de part ses marchandises. Le strict minimum, il y avait et certainement que les tisserand ne trouvait pas utile de se mettre au travail pour confectionner des vêtements au villageois et elle ne pensait pas moins des forgerons. M'enfin...
Au détour d'une taverne, elle avait pu rencontrer quelques personnes, des soldats, surement dû au temps trouble que le royaume traversé... On lui avait demandé plus d'une fois d’intégrer leurs rangs, mais une chose la retenait de dire oui, son engagement était ailleurs, elle le savait bien, mais ou? Alors le temps de mettre de l'ordre dans sa tête, elle regardait les soldats s'entrainer, des mouvements qu'elle aurait pu faire elle même, prédire, esquiver, donner... Avait-elle la même agilité ? Surement... Une étincelle illumina son être. Eris était de cette vie là, elle le savait bien, son être s'emflammer a chaque bruit d'épée, de bâtons, léger sourire de la blonde, elle courut jusque dans la grange ou elle dormait et fouilla dans le baluchon ou etait transposé ses affaire de son ancienne vie, elle les regarda,se concentrant des heures et des heures, il ne restait plus qu'elle, elle seule pouvait retrouver son passé... Les effort de la belle n'avait pas était vain, le mot première légion lui vint... Mais première légion de quoi? Elle se gratta la tete, cherchant un peu plus mais rien ne venait... Et c'est en rencontrant le porte parole du Rouergue qui lui avait parlé du Poitou que tout lui revint, comme l'eau clair coulant sur de la roche, c’était limpide...EN remettant tout en place, des barrettes... première légion, Poitou... elle avait vécu la bas, sinon pourquoi son cœur s'emballait a chaque fois qu'il répétait ses mots... et ces mots sortirent enfin de sa bouche, première légion Poitevine de Niort.
Elle prit de quoi écrire... - Citation :
- A l'intention du Général de la Légion Poitevine.
Cher Général,
Me voici aujourd'hui à Villefranche de Rouergue, après plusieurs mois sans savoir qui j’étais et se qu’était ma vie...
J'ai été recueillis dans le rouergue ou j'ai pansée mes blessures, en ce jour bénit par Aristote, tout m'est revenu... Je sais qu'il peut être aussi déstabilisant ce retour a la vie pour vous que pour moi... Mais je tiens a revenir dans les rangs et à me battre à vos cotés. C'est une demande, un souhait ...
J'espère avoir une réponse favorable de votre part.
Respectueusement, Eris, légionnaire de la Première Légion Poitevine. Elle accrocha ses barrettes de centurion a la missive, pour donner preuve que c'etait bien la bonne personne qui écrivait. Elle se dirigea au pigeonnier et envoya la missive. Il lui restait plus qu'a aller remercier Aristote en allant se recueillir. Sa vie aller reprendre.... |
|
Cyclope Général
Nombre de messages : 10821 Date d'inscription : 03/02/2008
Feuille de personnage Grade et Compagnie: Général de La Légion Poitevine - Chef du GEP - Capitaine du Blackstorm Force: (255/255) Charisme: (255/255)
| Sujet: Re: Retour à la vie, Retour à la réalité Jeu 15 Sep - 6:33 | |
| Alors que le général était dans son bureau,un pigeon porteur d'un message vint à atterrir sur sa fenêtre. Il déplia délicatement le parchemin,et lisant son contenu,il resta stupéfait.
Une ancienne légionnaire qui avait disparut depuis des mois,refaisait surface,alors que tous avaient perdu espoir de la revoir.
Il se dépêcha de prendre sa plume et de répondre,avant de lancer de nouveau le volatile vers sa destination. - Citation :
- Au légionnaire Eris.
Légionnaire,c'est avec beaucoup de plaisir et de sentiment sincère que j'ai put lire votre missive. La légion fut accablé par votre disparition,et certains se sont recueillit sur votre tombe.
C'est donc avec beaucoup de contentement que je vous recevrais au chemin de ronde,afin de vous remmener la ou votre grande famille vous attend.
Si des besoins urgent se ferait sentir,n'hésitez pas une fois intégrer à faire la demande,je suis sur que vos frères d'armes et moi même d'ailleurs,nous ferons un plaisir de vous aider.
Guerrièrement
Général Cyclope
| |
|
Invité Invité
| Sujet: Re: Retour à la vie, Retour à la réalité Jeu 15 Sep - 16:37 | |
| Ce matin là, Eris. était dans la rivière, elle réhabituait son corps a des gestes simples, certaines de ses articulations et muscles la faisait encore souffrir , alors elle plier, déplier, étiré... Elle savait que la réadaptation de son corps à l'effort allait être un travail de longue haleine. Cependant, elle fut interrompu par une personne qui vint lui apporter une missive. Elle sortit de l'eau et ouvrit le plis.
A la fin de la missive, elle sourit sereine et heureuse à la fois...La jeune femme prit ses affaire et alla préparer son départ pour lieu énoncé dans la lettre du général....
|
|
Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Retour à la vie, Retour à la réalité | |
| |
|