Hall d'accés de la Chapelaine Wantaka (Pour les demandes d'accés à son bureau privé )

Harlan vit que Wantaka était circonspecte.
Dame Wantaka, beaucoup de choses parcourent mon esprit et rien n'en sort.
Je voudrais en savoir plus sur Saint Antoine, sur les cérémonies, sur la Chapelle et sur les coutumes.
C'est une question sur ces dernières qui a produit mon trouble.
La personne que vous avez vu m'a apporté la réponse, mais d'une façon qui m'a fortement remué les tripes. Je sais cependant que ce n'était pas son but, mais j'aurais préféré l'apprendre de votre bouche.

Je ne puis vous dire ce que je sais, pour le moment.
Juste, parlez-moi des droits et des devoirs de ceux qui sont voués à Artistote, s'il vous plaît. En particulier des droits.
Harlan gardait ce regard implorant et brillant de larmes qui ne veulent pas s'évader de ses paupières.

Après un long silence des deux parties,
Harlan dessina sur le bureau huit chiffres avec son index : un 2, un 0, un 1, un autre 0, un autre 1, un 4, un 5 et enfin un 7. Il lui dit alors : Voilà ce qui me trouble tant !

Les larmes sortirent d'un coup sans qu'Harlan puissent les retenir plus longtemps

Harlan marmonna : Je suis désolé de vous offrir ce spectacle. C'est plus fort que moi.
On ne maitrise pas toujours ses sentiments
Puis il se leva et se dirigea vers la sortie, la tête basse.
Mes demandes étaient sincères pourtant...

Harlan écoutait les paroles de la Chapelaine. Il se leva mais entendit :
Harlancoben , Non ne partez pas , restez encore , nous allons continué notre discussion. Je peux vous aider, si vous le désirez vraiment, il suffira de prendre le temps et je vais vous expliquer tous les droits..
Il se retourna tout en se dirigeant vers la porte et... une grande douleur à la tête... tout devient blanc, puis obscurité.
Wantakaaaaa....,souffla-t-il en sécroulant.
Juste avant de se retrouver à terre, Harlan se rappela que la porte n'était qu'entrouverte et que dans sa précipitation et sa maladresse il l'avait prise de plein fouet... Plus rien, que des brouhaha et un goût de sang dans la bouche... Enfin, le silence total...

La chapelaine vit Harlancoben soudainement s'écroulé, elle alla vers lui , de peine essaya de le soulever.

Harlancoben, Harlancoben...................il était tout blanc, inconscient...............il me faut de l'aide pour le soulever

Mais que venait t il d'apprendre pour le rendre ainsi.............inquiete

Wantaka restait pres de lui. Elle le souleva , mais juste assez pour l'enlever devant cette porte.

Je dois garder mon calme, elle enleva sa cape, déchirant un bout, puis se rendit à la taverne en courant chercher de l'eau fraiche.
Tout doucement, elle essuya son front, enleva le sang qui coulait de sa bouche, je devrais peut être aller chercher Cyclope pensais t elle ?

Wantaka le couvra avec sa cape
Harlancobeni Aristote aides moi, pourquoi souffres t il autant? Je t'en prie Aristote,elle lui parlait doucement Harlancoben vous m'entendez??

Harlancoben, réveillez vous, elle continuait à lui passer de l'eau au visage, un visage si doux, si tendre

Harlancoben vous m'entendez??

Cette voix si douce, si tendre...Harlan entrouvrit les yeux. Un ange ! Ca y est, je suis au Paradis.
Puis il reperdit connaissance. Les derniers évènements l'avaient mis à rude épreuve. La porte avait eu raison du reste de ses forces.
La douceur de Wantaka aidant, tout son corps se détendait enfin, et le ramenait à la réalité.
Harlan ouvrit une seconde fois les yeux.
Au bout de quelques secondes , il dit :
Bonjour, Dame Wantaka.
Regardant autour de lui : Où suis-je ? Que fais-je là ?
La douleur se rappela à lui en une sensation d'explosion dans son crâne. Il porta ses mains à la tête.
Aïe, mais qu'est-ce qui m'arrive ?
En ramenant une de ses mains, il vit du sang et eu soudain peur. Le sang lui fit toutefois moins peur que le fait de ne pas se rappeler ce qui l'avait emmener à cette situation.
Il regarda Wantaka d'un air interrogateur...

Wantaka le regarda avec un petit sourire, bien Harlancoben , vous vous etes frappé contre la porte,et soudainement vous vous etes écroulé , tout blanc comme neige.


Vous etes venu me voir avec des questions et puis soudain , apres avoir recu un parchemin, vous etes devenu tout pâle et vous connaissez la suite, de la votre blessure.

La jeune chapelaine lui versa un verre d'eau fraîche et éponga son front doucement.
Vous vous sentez mieux Harlancoben ?

Peut etre que je devrais demander a mon garde au castel , je vous accompagné chez moi ,afin de guérir vos blessures .

Harlan écouta attentivement cette merveilleuse voix qui pouvait apaiser l'âme tout en faisant battre le coeur. Il souriait. Il se sentait bien. Des questions... Tiens, je me posais des questions... Un parchemin ?
Je ne se souviens pas lui avoir soumis les questions sur les différentes cérémonies qui peuvent me concerner, se pensa-t-il. Mais il aurait bien voulu se souvenir des réponses !
Quand à un certain parchemin ?! Je vois pas de quoi il s'agit.

L'air perdu, il regarda Watanka dans les yeux :
Dame Wantaka, j'ai l'impression d'un... comme un... manque... un vide. Je ne me souviens plus de ce que j'ai fais aujourd'hui ! J'ai la tête qui me fait atrocement souffrir. Aidez-moi, s'il vous plaît.

La douleur crânienne qui aurait du être insupportable devint sourde, présente mais annexe. La présence de Wantaka apportait la paix de l'esprit à Harlan.
Une sensation de bien-être l'envahie et, fermant les yeux, il vit un avant goût du Paradis. Mais avait-il seulement fermer les yeux ?
Dame Wantaka, j'ai l'impression d'enfin avoir trouvé la voix qui me guidera dans la bonne voie.
Il lui sourit, son regard fixé vers Wantaka.

Harlan buvait les paroles de Wantaka. Ses yeux étaient rivés sur son visage.
Il compris l'importance du baptême et ce qu'il apportait. Mais il compris que ce n'était aussi qu'un début.
Il regarda Wantaka, et compris qu'elle mettait parfaitement en pratique les enseignements Aristotéliciens : elle est la douceur et la compassion personnifiées.

Cependant, une telle décision d'engagement (baptême), Harlan l'avait bien compris, ne se prend pas sur un coup de tête...Aïe...Ma tête !
La douleur se rappela à lui.

Il se redressa et demanda:
Dame Wantaka, pourriez-vous m'aider à me relever ?

Wantaka lui fit un sourire, mais bien sur Harlancoben

Elle l'aida à se relever doucement, elle savait qu'il avait encore cette douleurà la tête.

Vous allez bien mon brave, vous désirez autre chose, je peux vous accompagner si vous le souhaitez,

Vous avez soif?

La jeune chapelaine le fixa dans les yeux, je ne peux vous laisser partir de cette facon...

Vous avez soif?

A ces trois mots, Harlan se rendit compte qu'il avait la bouche sèche.
Oui, en effet j'ai grand soif.
Je veux bien que vous m'accompagniez, je ne suis pas sûr de moi.
Harlan avait la tête qui tournait, sans doute dû au coup à la tête ou...

Vous allez vous appuyez sur mon épaule et je vais vous tenir la main , si vous le permettez.

Harlan fit comme le lui avait dit Wantaka. Mais...
...la proximité de la Chapelaine... la tête tourne de plus en plus...
Maitrise Harlan, maîtrise, se dit-il.

Il accompagna Wantaka mais en s'appuyant sur ses propres jambes de préférence.
Un légionnaire, ça pèse son poids, et une chapelaine reste une chapelaine, c'est fragile... se pensa-t-il

Merci de me soutenir, dit-il pour ne pas la décevoir.

Au fait dans quelle direction allons nous?

Bonne question ! Il regarda Wantaka.
Vous détenez la solution à tous mes maux, vous savez quelle voie il me faut suivre. Je m'en remets donc au choix que vous dicte votre coeur.
Harlan lisait dans les yeux de la chapelaine comme dans un miroir. Ses yeux lui disaient ce que lui même n'osait exprimer. N'était-ce que son imagination ?

Wantaka le regarda , lui sourit , mais elle se sentait aussi rougir un peu mal à l'aise, elle lui répondit,

Je vous accompagne à votre demeure, je vais vous faire une bonne soupe chaude et vous placerez sur votre tête un linge avec herbes qui vous soulagera.

Ensuite je partirais, vous allez récupérer et ensuite , si vous le désirez .............. nous pourrons commencer les cours de pastorale...........enfin si tel est votre désir.


Je vais passer vous revoir,mais sachez que vous pouvez me demander au besoin.



La jeune chapelaine sentait bien son coeur battre, mais que se passe t il donc ....

Harlan écoutait cette douce voix qui l'envoutait. Il avait envie d'acquiescer à tout ce qu'elle dirait.
Je vous accompagne à votre demeure, je vais vous faire une bonne soupe chaude et vous placerez sur votre tête un linge avec herbes qui vous soulagera.
Oh merci, dame Wantaka.
Ensuite je partirais...
Oh, non, sans discuter des cours de pastorale...
vous allez récupérer et ensuite , si vous le désirez .............. nous pourrons commencer les cours de pastorale....
...mais sachez que vous pouvez me demander au besoin.
J'y manquerais pas, chapelaine.
Il lui tenait toujours la main et sentit sous ses doigts, un pouls qui s'accélérait. Mais ce n'était pas en l'occurrence celui d'Harlan, il était déjà rendu à son maximum.
Harlan sourit. Enfin une vrai bonne nouvelle...

La jeune chapelaine lui sourit, lui tenant la main, mais bien sur, nous allons parler de vos cours de pastorale.

Il faudra avant tout bien récupérer Harlancoben. Rendu chez lui, il s'allonga, elle le couvrit avec sa cape et lui prépara un potage aux légumes.

Je vais aussi préparer votre bureau pour que vous soyez confortable pendant vos études, mais je ne serai pas loin de vous.




Puis tout doucement, elle quitta sans bruit...........

Quelle douceur. Harlan était tellement bien : la chaleur d'une cape et un bon potage... qu'il se laissa aller à la rêverie.
La fatigue aidant, il ne s'aperçut même pas du départ de sa chapelaine...et s'endormit oubliant même son mal de tête.
Il pouvait reposer en paix... du moins juste un moment !

Animos arriva pour la première fois dans ce lieu.

Je vous salue dame Wantaka, je me présente, Animos sénéchal de la légion de Saintes et de La Rochelle. Nous nous sommes deja croisés... mais j'avoue que ce lieu ... n'est pas un lieu ou je viens souvent...

Je viens vers vous, car un de mes légionnaires Cedric est décédé, il y a quelques jours... j'aimerai savoir s'il serait possible de faire une cérémonie afin ... de lui dire adieu.

Bonjour Messire,

Je suis enchantée de vous rencontrer Animos, je vous en prie prenez un siège.

Elle écouta attentivement Animos. Oui je comprend .

Je ne vois aucun probleme à faire cette cérémonie pour votre ami, et je crois qu'il est tout à fait normal de lui rendre un dernier hommage.

Dis moi , à quel endroit précis , je dois me rendre pour cette office.

Animos s'assoit

et bien tout d'abord merci...ensuite pour le lieu... la chapelle est ce possible?